Sherlin du Pérou suit les traces de son père

Au Pérou, 22% de la population vit dans la pauvreté, avec peu d’accès à la nourriture. 13% des enfants de moins de 5 ans souffre de malnutrition chronique. La situation est pire encore à la campagne. Le petit Sherlin aussi avait souvent faim et souffrait de malnutrition jusqu’à ce qu’il soit accueilli, à 8 ans, chez NPH Pérou, avec ses frères et soeurs.

Un début difficile

Sherlin est né à Santa Ana, un petit village de campagne situé à 15 km de Casa Santa Rosa de NPH. Il n’a pas beaucoup de souvenirs de son père Juan, car celui-ci est mort alors que Sherlin était encore très jeune.

« Notre maison était très petite et le plafond en métal avait beaucoup de trous. Quand il pleuvait, cela claquait fort et la pluie pouvait inonder la maison. Les murs n’étaient pas très épais et donc en hiver il faisait horriblement froid. Quand nous n’avions rien mangé, le froid était encore plus palpable »

Sherlin à la ferme de NPH

Un nouveau départ

Lorsque Sherlin est arrivé à NPH Pérou, il a reçu un régime spécial car il était sous-alimenté. Les médecins étaient inquiets parce que la dénutrition pouvait avoir des conséquences à long terme sur son développement. Ils sont contents de voir qu’à present il est en bonne santé.

Sherlin a maintenant 17 ans et a terminé l’école secondaire. Actuellement, il effectue son année de service à NPH Pérou. Tous les jours, il aide l’équipe à preparer les repas pour 78 enfants et travaille sur les parcelles de terre du village d’enfants.

Une passion héritée

L’année prochaine, il compte suivre une formation en techniques agricoles, une passion qu’il a héritée de son père. Il a un souvenir précis de son père: la manière dont il a appris à son frère Marcel à planter des arbres fruitiers. Ils cultivaient des pêches et des bananes. A la campagne, on cultive encore suivant les techniques traditionnelles de la region des Andes. C’est souvent la seule source de revenus pour la plupart des familles. Sherlin apprécie ce sentiment de liberté quand il est dans les champs. C’est sa dernière année à Casa Santa Rosa mais il est enthousiaste à propos de son avenir.

« Je quitte NPH l’année prochaine pour étudier. Cela va faire un grand changement dans ma vie mais je me sens en paix parce que je sais que NPH va continuer à m’aider », dit-il.

Le rêve de Sherlin est de gérer un jour sa propre exploitation agricole et de produire de la nourriture afin que d’autres enfants ne souffrent plus de la faim. Sherlin aimerait aussi exporter des fruits péruviens vers d’autres pays. « Peut-être vers les pays de nos donateurs? » ajoute-t-il. « Mon père aurait sûrement aussi trouvé que c’est une bonne idée. Je n’ai pas tellement connu mon père mais je pense qu’il aurait été fier de moi », conclut-il.

Daphnée : « NPH m’a ouvert les yeux et mon univers »

Daphnée a grandi dans une ville rurale du Guatemala, près du volcan Acatenango. L’aînée de quatre enfants, elle habitait avec ses parents et sa grand-mère. Ils vivaient selon les traditions mayas et ne parlaient que la langue kaqchikel. Dans la région, plus de 67 % des personnes vivent dans la pauvreté et près de 15 % dans l’extrême pauvreté.

Non-scolarisée

La famille de Daphnée habitait une toute petite maison aux murs de bois et de plâtre avec des tôles de zinc en guise de toit. Il n’y avait pas toujours d’électricité et souvent pas d’eau. Daphnée aidait son père dans les champs, s’occupait avec sa mère de leurs poulets, du bétail et des chevaux, ramassait du bois de chauffage et participait à la cuisine et au nettoyage. Le travail dans les champs a été son éducation, et elle ne connaissait rien d’autre. « On n’allait pas à l’école, nos parents avaient besoin de nous pour gagner de l’argent. » Il y a très peu de travail réel à Acatenango, la plupart des gens sont actifs dans l’agriculture. Mais cela rapporte peu et lorsque le loyer est payé, de nombreux parents peinent à nourrir leurs enfants.

NPH prend soin d’eux

Un jour de septembre 2011, des assistants sociaux sont arrivés chez Daphnée. Les parents ont alors perdu la garde de leurs enfants en raison des mauvaises conditions de vie et du manque de soutien adéquat pour Hilario, le petit frère de Daphnée. Il avait deux ans et souffrait de malnutrition sévère. Cela a provoqué chez lui un retard mental et une mauvaise croissance, ce qui l’affecte encore aujourd’hui.

Daphnée, ses frères et sa sœur ont alors été accueillis chez NPH Guatemala. Ils y ont reçu le soutien médical et psychologique nécessaire et une éducation.

Un avenir

Jusqu’à l’âge de 9 ans, Daphnée ne parlait pas espagnol. Aujourd’hui, elle a 19 ans et a obtenu son diplôme avec succès. Daphnée a appris la valeur de la nourriture et qu’il faut travailler dur pour l’obtenir.
Grâce à NPH, elle a pu aller à l’école. Sans le soutien des donateurs, elle n’aurait pas eu de réelles perspectives. En effet, notre organisation aide les enfants des zones rurales à travers l’éducation et la création de perspectives d’avenir. « NPH m’a ouverte à un nouveau monde. »

Qu’est-ce qui a été réalisé en 2021 ?

L’année 2021 a été difficile pour de nombreuses personnes. Chez nous, comme dans le reste du monde, de nombreux malheureux ont dû faire face à une grande détresse. En Amérique latine et en Haïti, les problèmes de pauvreté, de faim, d’instabilité et de violence ont atteint des proportions dramatiques. La crise persistante de COVID-19 n’a fait qu’intensifier cette spirale négative. L’économie s’est effondrée, entraînant une pauvreté plus grande que jamais.

Pourtant, il reste de l’espoir ! Grâce aux dons de nos donateurs, nous avons pu apporter un réel soutien à de nombreux enfants démunis l’année dernière.

Bolivie

Un chemin a été construit vers l’école et nous avons installé un système de purification pour garantir une eau saine et sûre.

Haïti

Nous avons apporté un soutien important aux personnes touchées par le tremblement de terre. Nos équipes ont pu construire 21 abris, dont deux écoles. Nous avons apporté une aide financière et des matériaux à 10 familles vivant dans des endroits difficiles d’accès pour reconstruire leur maison. Nous avons aussi aidé près de 450 familles avec des colis de nourriture et d’eau potable.

République dominicaine

Le 4 novembre, nous avons inauguré la première partie du centre de consultation externe de One World Surgery, à côté du village d’enfants. Nous y aidons les familles les plus vulnérables des communautés
voisines qui souffrent de besoins médicaux urgents.

Honduras

Nous avons aidé plus de 2 000 familles touchées par l’ouragan, construit 11 nouvelles maisons et ouvert un refuge pour 20 enfants de parents isolés. Enfin, nous avons recruté 12 volontaires et mis en place une
salle adaptée aux enfants handicapés.

Nicaragua

Nous avons veillé à ce que les enfants et les jeunes puissent assister aux cours, aux ateliers et aux séances
de physiothérapie dans un environnement sûr et nous leur avons fourni une collation, un déjeuner, un transport scolaire et une assistance médicale en cas de besoin. Au total, 253 étudiants ont été inscrits et
48 ont obtenu leur diplôme.

Pérou

Nous avons aidé une deuxième famille grâce à notre programme One Family. Marcelino, 7 ans, a quitté le village d’enfants pour aller vivre avec sa maman.

Levi et Rina ont un avenir grâce à vous

Levi avait 4 ans quand la police hondurienne l’a trouvé errant dans les rues. Seul, abandonné, nu.

« Maison de transition » Casa mi Esperanza

Sa triste situation a attiré l’attention de la police, qui l’a conduit à la Casa Mi Esperanza, une maison de transition de NPH Honduras à Catacamas. Les enfants victimes d’une situation de vie instable y trouvent un environnement sûr, jusqu’à ce qu’ils puissent rejoindre leur famille ou un autre foyer pour enfants.

Levi die lacht
Levi au village des enfants

Recherche de la famille

Le personnel de Casa Mi Esperanza est parti à la recherche de la famille de Levi. Et il s’est avéré que sa sœur, Rina, âgée de 7 ans, vivait une situation tout aussi misérable. Leur mère, Rosa, est une mère célibataire présentant une déficience auditive et un handicap mental. Elle était très impulsive et emmenait
souvent ses enfants avec elle lorsqu’elle ramassait des bouteilles dans la rue pour gagner un peu d’argent. Avec pour conséquence d’innombrables problèmes. Comme Levi avait peur de traverser la rue, sa mère l’a tout simplement laissé de l’autre côté et a poursuivi son chemin. Les enfants n’allaient pas à l’école, ne recevaient souvent que des chips et des boissons gazeuses. Ils étaient exposés à toutes sortes
de maladies et, à plusieurs reprises, des individus ont même voulu les kidnapper !

Rina en Levi omarmen elkaar
Rina et Levi

Opvang in het kinderdorp van NPH Honduras

Il était évident que Levi et Rina ne bénéficiaient pas d’une protection suffisante et que les moyens de la
maman étaient insuffisants pour satisfaire leurs besoins de base. Le risque d’abandon étant très élevé, les enfants ont été recueillis dans notre village d’enfants au Honduras le 23 novembre 2020. Notre équipe les a accueillis avec amour. Ils ont reçu toute l’attention et les soins dont ils avaient besoin.

Leur processus d’adaptation s’est très bien passé. Il existe un lien fort entre eux et ils aiment se faire des câlins et jouer ensemble. Quand Rina est arrivée chez NPH, elle ne savait ni lire ni écrire. Maintenant, elle est très heureuse d’aller à l’école. Entretemps, les enfants restent en contact avec leur famille grâce aux assistants sociaux de NPH.

Heureusement, Levi et Rina ont trouvé un foyer sûr chez NPH grâce au soutien de nos donateurs.

Grâce à l’aide de nos donateurs, Alexandra reçoit une alimentation saine

Alexandra est née au Salvador dans une famille pauvre. La fillette était très mal nourrie et gravement malade. Heureusement, chez NPH elle a immédiatement reçu les soins appropriés pour reprendre des forces et retrouver la santé.
La pandémie de coronavirus

La pandémie de coronavirus a davantage affaibli l’Amérique latine, provoquant encore plus de pauvreté et de privations. Pas moins de 64 % des habitants vivent dans une pauvreté parfois extrême et 44 % souffrent de sous-alimentation chronique. En raison de la malnutrition, 149 millions d’enfants de moins de cinq ans souffrent d’un retard de croissance et de problèmes de développement cognitif.


Alexandra avait des problèmes de santé

Alexandra était elle aussi mal en point. La fillette de deux ans souffrait de malnutrition et avait constamment des problèmes viraux, comme la grippe et des maux d’estomac, car elle avait la diarrhée. Ces symptômes peuvent rapidement se détériorer sans soins appropriés. En dernier recours, sa mère a emmené Alexandra et son frère à la clinique de NPH Salvador pour y chercher de l’aide.

Difficultés à nourrir leurs enfants

Les parents d’Alexandra travaillent dans l’agriculture, mais gagnent à peine leur vie. Pour survivre, ils ramassent du bois de chauffage et vendent des mangues et des tamales. Ils luttent pour joindre les deux bouts et nourrir leurs six enfants.

Pas assez de facilités pour les enfants

Les enfants vivant dans l’extrême pauvreté dans les pays à faible revenu, en particulier dans les zones reculées, sont exposés à un risque élevé de malnutrition. Ils ont bien moins accès à l’eau potable, aux installations sanitaires et aux soins de santé.

Les conséquences de la malnutrition chez l’enfant

En l’absence de soins médicaux appropriés, la malnutrition peut causer des dommages durables sur la croissance, le développement et le bien-être des enfants. Aujourd’hui, Alexandra a 5 ans et elle se porte mieux. Ses problèmes viraux sont moins importants, mais elle a toujours des problèmes d’estomac. Elle va à l’école de NPH où elle est en sécurité et reçoit des repas nutritifs. « J’aime y jouer avec mes amies », dit Alexandra en riant. « Mais j’aime aussi la nourriture, et surtout les haricots ! »

Chaque enfant a droit à une alimentation saine

Ce n’est pas facile pour l’hôpital : « Nous manquons souvent de médicaments, d’équipements ou de matériel », explique le Dr Karla. Le soutien de nos donateurs est donc vital pour donner à davantage d’enfants comme Alexandra l’espoir d’un avenir meilleur.

Dernières nouvelles sur Haïti

Le 14 août 2021, un tremblement de terre dévastateur a frappé Haïti. Une catastrophe naturelle qui a fait plus de 2 200 morts et 12 200 blessés ainsi que 344 disparus dans le sud-ouest du pays. Les opérations de recherche se poursuivent dans les décombres, mais la possibilité de retrouver des survivants s’amenuise. La population est traumatisée et cherche désespérément à s’en sortir…

Grâce aux donateurs, nous avons pu fournir une assistance rapide

Grâce à l’aide de généreux donateurs comme vous, NPH Haïti a pu rapidement apporter son aide sur place. Notre équipe a tout d’abord identifié les familles du personnel et des enfants en détresse. Nous leur avons offert des vêtements et des bâches pour se protéger des intempéries, ainsi qu’une aide financière, indispensable afin qu’elles puissent faire face à ce désastre.

Nous agissons !

Tout le monde chez NPH (Nuestros Pequeños Hermanos) s’est mis à l’oeuvre sans attendre. Annabelle Pierre, étudiante
en physiothérapie qui a grandi chez NPH Haïti, a accompagné un groupe d’étudiants en physiothérapie et ergothérapie sur le terrain après le tremblement de terre. Ils ont été très touchés par ce qu’ils y ont vu.

L’équipe est arrivée en pleine nuit, lors du passage de la tempête tropicale Grace. Nombreux étaient ceux qui n’avaient pas d’abri ou avaient trop peur de dormir à l’intérieur. « Il y avait beaucoup de femmes enceintes avec des enfants, c’était bouleversant… », se souvient Annabelle. Après le passage de la tempête, l’équipe a distribué des kits d’hygiène, de l’eau et de la nourriture aux victimes. Ensuite, les étudiants ont pu soigner les blessés.

Annabelle (à droite) s’occupe d’une victime

Un souvenir douloureux pour Annabelle

Pendant les traitements, les membres de l’équipe ont entendu de nombreux témoignages déchirants sur les proches disparus, les morts, les maisons détruites et les personnes à la rue. Annabelle compatissait, car ses parents sont tous les deux décédés d’une maladie, la laissant orpheline alors qu’elle n’était qu’une jeune fille. Un souvenir douloureux… C’est ainsi qu’elle a été recueillie au sein du village d’enfants à Kenscoff.

Annabelle nous a confirmé que les besoins sont énormes et que l’aide ne parvient pas assez rapidement. La situation est critique. Les victimes ont d’urgence besoin de vous.

Le directeur de NPH Haïti, Kenson Kaas, en témoigne également :

« Grâce à votre soutien, nous avons déjà distribué des vêtements, des kits médicaux d’urgence et du matériel de construction tel que des toits en tôle, des clous, du bois, des lampes rechargeables, etc. Nous avons aussi utilisé une partie de notre réserve alimentaire interne pour donner un mois de nourriture, comme du riz, des haricots, de l’huile de cuisson et du sel. Nous fournissons les éléments de base nécessaires pour aider les personnes touchées à survivre le mois prochain, mais nous espérons apporter une aide plus durable en faisant appel à vous. »

Soutenez les victimes !

Il ne suffit pas d’aider les victimes temporairement, vous l’imaginez bien. Ils ont tout perdu. Ce sont leurs vies qui se sont écroulées, leurs enfants qui souffrent des conséquences et leur avenir qui est en jeu. C’est pourquoi, les prochains mois, notre organisation veut venir en aide à 150 familles de nos enfants et de notre personnel et à ceux qui en ont le plus besoin aux Cayes et à Jérémie, afin de leur donner une maison permanente, en plus d’une alimentation de base. Vous pouvez soutenir ces familles sinistrées en faisant un don dès aujourd’hui.

Si vous êtes en mesure de répondre à notre appel, ne tardez pas à verser votre contribution s.v.p. Nous ne pouvons pas laisser ces familles et ces enfants à leur sort, votre aide est impérative à leur survie !

De la nourriture pour les familles pauvres

En raison de la crise de COVID-19, l’année dernière de nombreuses familles n’ont rien pu vendre sur les marchés ni faire de récolte. Cela a menacé de provoquer une crise alimentaire. Pour lutter contre cela, le village d’enfants NPH Honduras a mis en place un projet en collaboration avec notre centre familial San José : le programme « Food Parcel ».

Il s’agit d’ateliers agricoles lors desquels nous formons les familles à cultiver leur propre potager avec un petit budget. Ils peuvent ainsi nourrir leurs familles et atténuer les pénuries alimentaires.

Les familles reçoivent les graines et apprennent à les semer et à les récolter. Ils apprennent également comment tous les membres de la famille peuvent jouer un rôle dans la culture et la récolte.

Aidez nous en faisant un don pour développer ce projet !

Je veux aider

2020, une année particulière en Amérique latine

2020 a été une année particulière… notre organisation a pu surmonter un certain nombre d’obstacles grâce à l’aide de nos donateurs !

NPH Honduras

NPH Honduras a pu offrir une aide rapide à de nombreuses personnes dans le besoin.

Par exemple, nous avons livré des colis alimentaires à plus de 100 familles de la communauté pauvre de Tegucigalpa.

NPH Haïti

NPH Haïti a été forcé à prendre des mesures radicales. Un certain nombre d’employés ont été licenciés, les dépenses ont été réduites de façon drastique et les frais de scolarité ont été augmentés. Heureusement, cette année a également connu ses succès.

L’histoire du petit Bobbi de Port-au Prince, par exemple, fait chaud au cœur. Bobbi était gravement sous-alimenté : il avait 22 mois et pesait à peine 10 kilos. Il a rapidement été envoyé à notre hôpital St Damien pour des soins appropriés. Il est maintenant en parfaite santé, grâce à votre soutien à notre hôpital.

NPH Guatemala

NPH Guatemala a dû fermer tous ses ateliers de formation professionnelle. Très peu de familles disposent des appareils et de la technologie nécessaires pour suivre des cours en ligne.

Les enseignants ont donc cherché des alternatives et malgré les difficultés, 98 % des élèves ont réussi leur année scolaire !

NPH Mexique

Grâce à NPH Mexique, la population locale a reçu suffisamment de nourriture à bas prix pendant le confinement. Malheureusement, les coûts des produits de nettoyage et des médicaments ont fortement augmenté.

En mars, les écoles ont dû fermer, mais en juillet, les enfants ont pu – après de nombreuses adaptations grâce à nos donateurs – suivre des cours à temps partiel dans nos propres salles de classe.

NPH Bolivie

Le programme agricole du village d’enfants NPH Bolivie a rencontré de nombreuses difficultés. Il y avait entre autres un manque de semences pour les potagers.

Le projet de vaches à lait a également été retardé, mais ces projets agricoles ont pu être menés à bien d’ici la fin de l’année.

Le système de purification de l’eau qui était prévu en 2020 verra le jour cette année et tous les enfants et le personnel pourront en profiter !

La pandémie de corona a eu un impact majeur dans le monde entier. Dans les pays où nous sommes actifs, elle a souvent entraîné encore plus de pauvreté, de faim et de violence. Heureusement, grâce à nos fidèles donateurs, nous avons pu changer de nombreuses vies pour un mieux. Comme celle de Marlen et de milliers d’autres enfants et de leurs familles.   Et cela n’est possible que grâce au soutien de gens comme vous. Surtout, continuez à faire preuve de compassion. Au nom de tous les enfants : merci.

Je veux aider

Le centre familial San José fête son 1er anniversaire

Le centre familial San José au Honduras a ouvert ses portes il y a exactement un an.

En plus de son premier Noël, le centre célèbre aussi ses succès. Pour la communauté pauvre de Mata de Plátano, le centre est un merveilleux cadeau. Malgré le coronavirus, des initiatives pour soutenir la communauté y ont vu le jour.

Comme les « Manos Solidarias » (mains solidaires) : pendant le confinement, les familles gravement affectées par la situation recevaient
chaque mois un panier alimentaire.

Le centre a également un impact important dans d’autres domaines. « Le centre familial est bénédiction », confie José Mario.

C’est le père de Jefry, un garçon atteint de paralysie cérébrale qui ne peut pas parler et a des difficultés à marcher. Après de nombreuses thérapies au centre, Jefry peut maintenant se déplacer plus confortablement, reconnaître les couleurs et les formes et recevoir un soutien à domicile, ce qui accélère son rétablissement.

« J’ai énormément de gratitude envers le personnel, NPH et les donateurs », confie-t-il.

L’impact de nos donateurs pendant le confinement en Amérique latine

Réalisez-vous l’impact que nos donateurs ont eu pendant le confinement en Amérique latine ?

Tant de familles que nous avons pu soutenir… Vous ne pouvez pas imaginer !

La famille Lozano Canales est l’une d’entre elles. Elle vit à Santa Catharina Punula, un quartier pauvre de Guatemala City, où la pollution, les gangs et la drogue font partie de la vie quotidienne. Les sept membres de la famille vivent ensemble dans un petit appartement d’une pièce et partagent deux lits. A cause de la crise du corona, Christina, maman célibataire avec cinq enfants et un petit fils à sa charge, a perdu son emploi de femme de ménage.

Ses filles l’aident en vendant du bois de chauffage et du pop-corn. Les bons jours, elles gagnent 5 euros, juste assez pour nourrir toute la famille pendant une journée. Imaginez… Malgré tous les malheurs qui la frappent, la famille fait preuve d’une énorme volonté.

« Le coronavirus a bouleversé notre vie à tous les égards. Pour l’instant, nous ne survivons que grâce au soutien de NPH, ce qui est une véritable bénédiction pour nous. Mes enfants reçoivent de la nourriture, du matériel scolaire et des produits d’hygiène. J’ai le sentiment que sans votre aide, nous serions perdus en tant que famille », explique Christina.


Merci à tous ceux qui nous soutiennent !

Regardez ici les autres familles que nous avons pu aider avec l’aide de nos donateurs: