Grâce à la bourse de NPH, Marlon a maintenant une chance dans la vie

Marlon grandit pendant ses premières années à Lima, la capitale du Pérou. Sa situation familiale est difficile et son papa violent quitte la famille alors que Marlon et son frère Mario sont encore très jeunes.

Sa maman n’a pas de revenu fixe et fait un peu de commerce dans la rue. Elle ne gagne pas assez pour faire vivre la famille et encore moins pour envoyer Marlon et son frère à l’école. Les frères sont complètement livrés à eux-mêmes.

Marlon et son frère, Mario

Marlon souffre de malnutrition et n’a jamais reçu d’éducation scolaire

C’est pourquoi le gouvernement décide de placer les deux frères dans le village d’enfants de NPH Pérou. Marlon a alors huit ans. Quand ils arrivent chez Nuestros Pequeños Hermanos (NPH), en février 2014, ils souffrent de malnutrition, n’ont aucune éducation scolaire et ne savent pas ce que signifie avoir une famille soudée.

Difficultés d’apprentissage

Au début, Marlon a eu du mal à faire ses preuves à l’école. Il ne savait pas à quoi s’attendre et était très vulnérable en raison de sa situation familiale. Grâce à l’attention constante de ses enseignants et des éducateurs, il a trouvé la force et le courage de persévérer malgré tout. L’année dernière, Marlon a obtenu son diplôme de l’école primaire. Grâce à nos donateurs, Marlon a reçu une bourse d’études afin qu’il puisse aller à l’école secondaire.

Marlon s’épanouit dans son éducation scolaire et dans sa vie quotidienne

Son éducateur, Eddy Martinez, déclare : « Marlon est l’un des garçons les plus heureux et les plus sympathiques de San Martin. Un garçon si joyeux s’intègre facilement au sein du groupe et se fait rapidement des amis. Au début, Marlon n’a pas eu la vie facile, ce qui est compréhensible quand on vient d’une telle situation. Mais grâce à la persévérance de Marlon et de ses professeurs, il a complètement changé. Ses bulletins scolaires s’améliorent progressivement et il constate que ses efforts portent vraiment leurs fruits. En plus de l’école, il a également la possibilité de faire du sport. Marlon aime le football et Luis Suàrez est son joueur préféré. »

Chaque enfant a droit à l’éducation !

Grâce à nos fidèles donateurs, Marlon peut désormais appeler le village d’enfants « San Martin » de
NPH Pérou, « son foyer ». Sa maman et sa grand-mère vivent toujours à Lima et, malheureusement, tentent chaque jour de joindre les deux bouts.

Daphnée : « NPH m’a ouvert les yeux et mon univers »

Daphnée a grandi dans une ville rurale du Guatemala, près du volcan Acatenango. L’aînée de quatre enfants, elle habitait avec ses parents et sa grand-mère. Ils vivaient selon les traditions mayas et ne parlaient que la langue kaqchikel. Dans la région, plus de 67 % des personnes vivent dans la pauvreté et près de 15 % dans l’extrême pauvreté.

Non-scolarisée

La famille de Daphnée habitait une toute petite maison aux murs de bois et de plâtre avec des tôles de zinc en guise de toit. Il n’y avait pas toujours d’électricité et souvent pas d’eau. Daphnée aidait son père dans les champs, s’occupait avec sa mère de leurs poulets, du bétail et des chevaux, ramassait du bois de chauffage et participait à la cuisine et au nettoyage. Le travail dans les champs a été son éducation, et elle ne connaissait rien d’autre. « On n’allait pas à l’école, nos parents avaient besoin de nous pour gagner de l’argent. » Il y a très peu de travail réel à Acatenango, la plupart des gens sont actifs dans l’agriculture. Mais cela rapporte peu et lorsque le loyer est payé, de nombreux parents peinent à nourrir leurs enfants.

NPH prend soin d’eux

Un jour de septembre 2011, des assistants sociaux sont arrivés chez Daphnée. Les parents ont alors perdu la garde de leurs enfants en raison des mauvaises conditions de vie et du manque de soutien adéquat pour Hilario, le petit frère de Daphnée. Il avait deux ans et souffrait de malnutrition sévère. Cela a provoqué chez lui un retard mental et une mauvaise croissance, ce qui l’affecte encore aujourd’hui.

Daphnée, ses frères et sa sœur ont alors été accueillis chez NPH Guatemala. Ils y ont reçu le soutien médical et psychologique nécessaire et une éducation.

Un avenir

Jusqu’à l’âge de 9 ans, Daphnée ne parlait pas espagnol. Aujourd’hui, elle a 19 ans et a obtenu son diplôme avec succès. Daphnée a appris la valeur de la nourriture et qu’il faut travailler dur pour l’obtenir.
Grâce à NPH, elle a pu aller à l’école. Sans le soutien des donateurs, elle n’aurait pas eu de réelles perspectives. En effet, notre organisation aide les enfants des zones rurales à travers l’éducation et la création de perspectives d’avenir. « NPH m’a ouverte à un nouveau monde. »

Susy : de la pauvreté à la réussite

Susy se rend avec joie tous les matins, à 8 heures, à l’école pour suivre ses cours. La jeune fille n’habite pas dans notre village d’enfants Casa Sagrada au Salvador. Elle y est néanmoins accueillie chaque jour, car elle participe à notre programme d’accueil de jour : un enseignement de qualité, des soins de santé et des repas nourrissants pour les enfants issus des familles voisines les plus pauvres.

Susy avec sa famille

La malnutrition a été découverte à l’école

Sa famille vit dans une situation très précaire. Susy souffrait de malnutrition lorsqu’elle est entrée à l’école. Ses parents travaillent dur et n’ont malgré tout pas assez d’argent pour lui permettre d’aller à l’école et subvenir à ses besoins fondamentaux. Ils sont très reconnaissants des opportunités qui s’offrent
aujourd’hui à leur fille.

Susy apprécie sa scolarité

Susy adore l’école. Elle est intelligente et obtient d’excellentes notes. Elle s’investit pleinement dans sa formation scolaire parce qu’elle sait qu’elle est importante pour son avenir. L’école permet à Susy de suivre des cours, mais aussi de rester en bonne santé. Elle bénéficie chaque jour d’école d’un repas sain et
nourrissant. L’école a complètement changé sa vie.

Qu’est-ce qui a été réalisé en 2021 ?

L’année 2021 a été difficile pour de nombreuses personnes. Chez nous, comme dans le reste du monde, de nombreux malheureux ont dû faire face à une grande détresse. En Amérique latine et en Haïti, les problèmes de pauvreté, de faim, d’instabilité et de violence ont atteint des proportions dramatiques. La crise persistante de COVID-19 n’a fait qu’intensifier cette spirale négative. L’économie s’est effondrée, entraînant une pauvreté plus grande que jamais.

Pourtant, il reste de l’espoir ! Grâce aux dons de nos donateurs, nous avons pu apporter un réel soutien à de nombreux enfants démunis l’année dernière.

Bolivie

Un chemin a été construit vers l’école et nous avons installé un système de purification pour garantir une eau saine et sûre.

Haïti

Nous avons apporté un soutien important aux personnes touchées par le tremblement de terre. Nos équipes ont pu construire 21 abris, dont deux écoles. Nous avons apporté une aide financière et des matériaux à 10 familles vivant dans des endroits difficiles d’accès pour reconstruire leur maison. Nous avons aussi aidé près de 450 familles avec des colis de nourriture et d’eau potable.

République dominicaine

Le 4 novembre, nous avons inauguré la première partie du centre de consultation externe de One World Surgery, à côté du village d’enfants. Nous y aidons les familles les plus vulnérables des communautés
voisines qui souffrent de besoins médicaux urgents.

Honduras

Nous avons aidé plus de 2 000 familles touchées par l’ouragan, construit 11 nouvelles maisons et ouvert un refuge pour 20 enfants de parents isolés. Enfin, nous avons recruté 12 volontaires et mis en place une
salle adaptée aux enfants handicapés.

Nicaragua

Nous avons veillé à ce que les enfants et les jeunes puissent assister aux cours, aux ateliers et aux séances
de physiothérapie dans un environnement sûr et nous leur avons fourni une collation, un déjeuner, un transport scolaire et une assistance médicale en cas de besoin. Au total, 253 étudiants ont été inscrits et
48 ont obtenu leur diplôme.

Pérou

Nous avons aidé une deuxième famille grâce à notre programme One Family. Marcelino, 7 ans, a quitté le village d’enfants pour aller vivre avec sa maman.

« À 12 ans, je ne savais ni lire ni écrire. Aujourd’hui, je suis électricien. »

« Le divorce de mes parents m’a beaucoup affecté. Je me suis retrouvé chez des membres de ma famille éloignée, mais j’ai préféré partir, car personne ne prenait soin de moi. J’étais obligé de travailler au lieu d’aller à l’école. Les premiers jours, je n’ai fait que pleurer », déclare Oscar. Il errait dans les rues, n’allait pas à l’école et vendait du bois de chauffage pour pouvoir manger.

Oscar essayait de survivre dans la rue, mais il s’est rapidement avéré que les autres jeunes étaient en proie à l’alcool, aux drogues et à la colle. « J’ai failli me perdre », raconte Oscar à propos de cette période difficile.

Après avoir rencontré un policier, Oscar a rejoint notre village d’enfants au Nicaragua. Oscar a rapidement appris à lire, à écrire et à compter. Après avoir obtenu son diplôme du secondaire, il a suivi une formation d’électricien.
Oscar est aujourd’hui responsable de l’approvisionnement électrique du village d’enfants. Il a notamment pris l’initiative d’installer les premiers panneaux solaires, qui nous permettent de produire nous-mêmes de l’énergie de façon durable.

« Je veux pouvoir partager mon histoire. Je ferai toujours partie de la famille de Nos Petits Orphelins (NPO). Le lien que nous avons noué est éternel. Il est gravé dans mon sang, mes os et mon coeur. »

2020, une année particulière en Amérique latine

2020 a été une année particulière… notre organisation a pu surmonter un certain nombre d’obstacles grâce à l’aide de nos donateurs !

NPH Honduras

NPH Honduras a pu offrir une aide rapide à de nombreuses personnes dans le besoin.

Par exemple, nous avons livré des colis alimentaires à plus de 100 familles de la communauté pauvre de Tegucigalpa.

NPH Haïti

NPH Haïti a été forcé à prendre des mesures radicales. Un certain nombre d’employés ont été licenciés, les dépenses ont été réduites de façon drastique et les frais de scolarité ont été augmentés. Heureusement, cette année a également connu ses succès.

L’histoire du petit Bobbi de Port-au Prince, par exemple, fait chaud au cœur. Bobbi était gravement sous-alimenté : il avait 22 mois et pesait à peine 10 kilos. Il a rapidement été envoyé à notre hôpital St Damien pour des soins appropriés. Il est maintenant en parfaite santé, grâce à votre soutien à notre hôpital.

NPH Guatemala

NPH Guatemala a dû fermer tous ses ateliers de formation professionnelle. Très peu de familles disposent des appareils et de la technologie nécessaires pour suivre des cours en ligne.

Les enseignants ont donc cherché des alternatives et malgré les difficultés, 98 % des élèves ont réussi leur année scolaire !

NPH Mexique

Grâce à NPH Mexique, la population locale a reçu suffisamment de nourriture à bas prix pendant le confinement. Malheureusement, les coûts des produits de nettoyage et des médicaments ont fortement augmenté.

En mars, les écoles ont dû fermer, mais en juillet, les enfants ont pu – après de nombreuses adaptations grâce à nos donateurs – suivre des cours à temps partiel dans nos propres salles de classe.

NPH Bolivie

Le programme agricole du village d’enfants NPH Bolivie a rencontré de nombreuses difficultés. Il y avait entre autres un manque de semences pour les potagers.

Le projet de vaches à lait a également été retardé, mais ces projets agricoles ont pu être menés à bien d’ici la fin de l’année.

Le système de purification de l’eau qui était prévu en 2020 verra le jour cette année et tous les enfants et le personnel pourront en profiter !

La pandémie de corona a eu un impact majeur dans le monde entier. Dans les pays où nous sommes actifs, elle a souvent entraîné encore plus de pauvreté, de faim et de violence. Heureusement, grâce à nos fidèles donateurs, nous avons pu changer de nombreuses vies pour un mieux. Comme celle de Marlen et de milliers d’autres enfants et de leurs familles.   Et cela n’est possible que grâce au soutien de gens comme vous. Surtout, continuez à faire preuve de compassion. Au nom de tous les enfants : merci.

Je veux aider

L’impact de nos donateurs pendant le confinement en Amérique latine

Réalisez-vous l’impact que nos donateurs ont eu pendant le confinement en Amérique latine ?

Tant de familles que nous avons pu soutenir… Vous ne pouvez pas imaginer !

La famille Lozano Canales est l’une d’entre elles. Elle vit à Santa Catharina Punula, un quartier pauvre de Guatemala City, où la pollution, les gangs et la drogue font partie de la vie quotidienne. Les sept membres de la famille vivent ensemble dans un petit appartement d’une pièce et partagent deux lits. A cause de la crise du corona, Christina, maman célibataire avec cinq enfants et un petit fils à sa charge, a perdu son emploi de femme de ménage.

Ses filles l’aident en vendant du bois de chauffage et du pop-corn. Les bons jours, elles gagnent 5 euros, juste assez pour nourrir toute la famille pendant une journée. Imaginez… Malgré tous les malheurs qui la frappent, la famille fait preuve d’une énorme volonté.

« Le coronavirus a bouleversé notre vie à tous les égards. Pour l’instant, nous ne survivons que grâce au soutien de NPH, ce qui est une véritable bénédiction pour nous. Mes enfants reçoivent de la nourriture, du matériel scolaire et des produits d’hygiène. J’ai le sentiment que sans votre aide, nous serions perdus en tant que famille », explique Christina.


Merci à tous ceux qui nous soutiennent !

Regardez ici les autres familles que nous avons pu aider avec l’aide de nos donateurs:

L’impact de vos dons durant la crise du coronavirus

Grâce aux dons de nos donateurs, nous avons pu mener les actions suivantes :

  • NPH Honduras a distribué des colis alimentaires à 109 familles de la communauté pauvre de Talanga.
  • L’hôpital pédiatrique St Damien a collecté 4 900 masques pour les patients et leurs parents, a acheté des médicaments supplémentaires et a recruté temporairement du personnel médical supplémentaire.
  • La clinique de NPH Nicaragua a pu acheter 4 réservoirs d’oxygène, en plus de gel pour les mains, de gants et de savon.

La crise n’est pas encore terminée… Dans certains pays, nous commençons à peine à mesurer l’impact du confinement. Cependant, il devient évident que le fait de ne pas aller à l’école entraîne une pauvreté encore plus grande. Les enfants sont plus susceptibles de se retrouver dans un environnement criminel ou de devenir victimes du travail des enfants.

Voulez-vous nous aider à éviter cela ?

Je veux aider

La seule chance de sortir de la pauvreté pour Alma ? Une éducation scolaire !

Aujourd’hui, Alma est élève en 6e année à l’école primaire du village d’enfants NPH Nicaragua. Elle fait partie de notre programme d’aide externe : elle vient à l’école chez nous, mais vit avec sa mère, son frère et sa petite sœur..

Le père d’Alma est décédé avant sa naissance et c’est sa mère qui a donc dû élever seule les enfants. De plus, la famille vivait dans la pauvreté et arrivait à peine à joindre les deux bouts. Grâce à un travail acharné, la maman d’Alma réussissait de justesse à s’occuper de sa famille.

Alma est aussi combative que sa maman. Le premier combat qu’elle a dû mener dans sa jeune vie était contre le cancer. Elle a réussi à vaincre la maladie. Plus récemment, elle s’est battue pour apprendre à lire.

Alma fréquentait une école publique, mais selon sa mère, Alma, son frère et sa sœur n’y apprenaient pas grand-chose. Alma a connu de nombreuses difficultés. En raison de la pauvreté de la famille et de ses problèmes de santé (elle est très sensible à tout type de maladie), elle a manqué beaucoup de cours. C’est pourquoi sa mère a tout fait pour inscrire Alma et ses autres enfants chez Nuestros Pequeños Hermanos (NPH).

Quand Alma est arrivée dans notre école en septembre 2016 à l’âge de 10 ans, elle était en 2e année. Apprendre à lire a donc été un grand défi pour elle. Heureusement, elle a fait des efforts incroyables pour progresser et elle a reçu tout le soutien des éducateurs, des professeurs et de sa maman. Elle a aussi découvert l’amour de la lecture.

« Alma a travaillé très dur », explique sa mère. « Elle s’exerçait non seulement à l’école, mais aussi à la maison. »

Et avec succès. Elle a rapidement réussi à rattraper le niveau de sa classe. Selon son superviseur, Xiomara, « Alma est une étudiante dévouée, respectueuse et travailleuse et elle termine le premier semestre avec 84%.

» Sa mère est incroyablement reconnaissante envers NPH. Elle sait qu’Alma continuera à s’améliorer en lecture. « Les magazines, les légendes du calendrier, la Bible… Tout ce qu’elle trouve, elle le lit. »

En raison de la crise du coronavirus, les familles sont confrontées à de sérieux problèmes financiers : elles ne peuvent pas envoyer leurs enfants à l’école et leur procurer la nourriture nécessaire.

Toutes nos écoles prennent des mesures spéciales de prévention et essaient de fournir le soutien financier et structurel nécessaire à ces familles. Grâce à des livres d’exercices, les enfants étudient à domicile.

Un aperçu des réalisations en 2019

Grâce à l’aide de nos donateurs et Parents du Monde, nous avons pu effectuer plusieurs réalisations dans nos villages d’enfants en 2019 : MERCI infiniment pour votre soutien !

Voici un aperçu de certaines de nos réalisations dans les 9 pays où nous sommes actifs.

MEXIQUE

De nouvelles maisons

En 2019, 4 maisons ont été construites à Miacatlán et 3 autres ont été transformées pour plus d’intimité. Dorénavant, les enfants n’y dorment plus par tranche d’âge mais par famille. Dans les années à venir, nous construirons le reste des maisons suivant le même principe.

PÉROU

Ouverture de notre jardin bio

Nous avons démarré notre jardin bio l’an dernier. Nous pouvons ainsi cultiver nos propres légumes et les consommer, ce qui diminue notre budget et nous permet d’être autosuffisants. En 2020, nous souhaitons même pouvoir vendre l’excédent sur les marchés.

HAÏTI

L’hôpital St Damien

Davantage de femmes ont pu accoucher à St Damien : le nombre d’accouchements est passé de 180 à 250 par mois. C’était nécessaire, car Médecins sans Frontières a fermé une maternité dans les environs et St Damien est devenu encore plus important lorsque les troubles socio-politiques ont augmenté dans le pays.

GUATEMALA

Une garderie gratuite

L’an dernier, nous avons démarré une nouvelle garderie gratuite pour les enfants des mères célibataires. Cela leur permet d’aller travailler l’esprit tranquille. Elle accueille actuellement 21 jeunes enfants de la communauté voisine.

HONDURAS

Centre familial « San José »

NPH Honduras a commencé la construction du centre familial San José dans les communautés avoisinantes de « Mata de Plátano » et « Pueblo Nuevo ». Notre équipe travaille actuellement avec 4 écoles de la région et réalise des évaluations afin d’identifier les problèmes dans la région et de trouver des solutions. En 2020, nous comptons finaliser la construction du centre.

SALVADOR

20 ans d’existence

En 2019, notre village d’enfants au Salvador a fêté ses 20 ans d’existence. Au cours de cette période, NPH a accueilli plus de 900 « pequeños ». A cette occasion, le village d’enfants a également ouvert 3 nouveaux espaces : une classe d’agilité mentale, une classe de soutien pédagogique et une salle de jeux.

RÉPUBLIQUE DOMINICAINE

Maison de transition

Depuis l’ouverture de notre maison de transition « Niños de Dios » en 2018, plus de 50 enfants ont reçu de l’aide par l’intermédiaire. Cette maison de transition située à Monte Plata aide à renforcer les familles dominicaines en s’occupant des enfants en situation de risque jusqu’à ce que leur situation s’améliore.

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BOLIVIE

Constructions dans le village d’enfants

Nous avons pu poursuivre notre projet de reconstruction de maisons en achevant 3 maisons cette année. Ces 3 maisons ont été reconstruites avec des fenêtres, des murs et des toits durables qui seront plus sûrs, surtout pendant la saison des pluies. Nous avons également pu construire une laiterie et des pâturages pour les vaches afin qu’elles puissent être transportées et vaccinées.

NICARAGUA

Retour au calme progressif

Bien que la situation sociopolitique du pays reste tendue, les cycles scolaires ont été entièrement achevés et la situation n’a eu aucun impact sur les résultats scolaires en 2019. Des formations sur la gestion et le recyclage des déchets, l’hygiène personnelle et l’alimentation saine ont entre autres pu être complétées.